Dirk et Marie-Anne ont préparé la route avec minutie, afin de quitter Saint-Vaast sans danger (je cale à 2,27m), de longer la côte à au moins 5 milles (comme le prescrit le bloc marine), et de profiter un maximum du vent (3-4 bf) et des courants (jusqu’à 4nds).
Cette fois-ci, broquette pour la pêche.
Après plusieurs visites d’emplacement (sans moteur d’étrave), on finit par embarquer sur le canot de la capitainerie, afin de nous dégoter un emplacement.
Ce sera au ponton Q, juste à côté de la mise-à-l’eau.
Nous pouvons alors profiter du spectacle en tout genre (aviron, optimiste, catas, pêche (suivi d’un grand dauphin).
Le port de Cherbourg reçoit les coureurs du tour de Normandie, ce qui donne un spectacle haut en couleurs, et chacun finit par trouver une place.
Première journée à Cherbourg, avec l’inévitable visite de la cité de la mer.
On y découvre le redoutable (sous-marin nucléaire désarmé)
Mais aussi des animaux préhistoriques étranges des profondeurs abyssales…
La gare maritime, un bijou architectural d’une époque révolue des années trente, pendant laquelle des dizaines de milliers de passagers embarquaient pour traverser l’Atlantique, et tenter leur chance de l’autre côté.
Au passage, on relève la position exacte du Titanic, un palais entier retraçant son terrible dernier voyage.
Les petits sont de sortie.
On profite de la région pour déguster les produits du terroir!
Le coupe circuit du moteur d’étrave est désigné comme étant à l’origine du disfonctionnement, on verra comment y remédier plus tard, car le feu d’artifice du 14 juillet va bientôt débuter, et on a une place de choix pour le contempler.
Maintenant, on attend Magali et Bèche qui arrivent tous deux demain dimanche.
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